Из альбома: La force d'y croire

Pour tout le tord que l'on se fait,
A l'évidence on s'est cachés,
Je ne veux plus, me battre,
Contre toi, contre moi,
On s'dit du mal pour se blesser,
On trouve normal de l'accepter,
J'ai voulu tant de choses, mais pas souffrir, pas détruire.

J'entends souffler le vent,
Je vois passer le temps, mais rien ne change,
Se rendre à l'évidence, ça nous dérange.

Je tombe,
Je ne sens plus tes bras,
Je n'entends plus ta voix,
S'il te plait ne me retiens pas,
Je tombe,
Plus bas à chaque fois,
Mais je n’atterris pas,
Je t'en prie quitte moi.

Laisse nous une chance,
D'être heureux,
Juste ce qu'on a pas su faire à deux,
S'éloigner nous protégera,
Du mal qui consume nos pas,
On pense à soi ou bien à nous,
Quand on veut se rendre jaloux,
On cherche à prouver finalement qu'on vaut bien mieux que nos parents.

J'entends souffler le vent,
Je vois passer le temps, mais rien ne change,
De cacher l'évidence, ça nous arrange.

Je tombe,
Je ne sens plus tes bras,
Je n'entends plus ta voix,
S'il te plait ne me retiens pas,
Je tombe,
Plus bas à chaque fois,
Mais je n’atterris pas,
Je t'en prie quitte moi.

Quitte moi, je t'en prie quitte moi,
Quitte à briser nos voix,
On mérite mieux que ça,
Je t'en prie quitte moi,
Quitte moi,
Je t'en prie quitte moi,
Quitte à briser nos voix,
On mérite mieux que ça,
Je t'en prie quitte moi.

Je tombe,
Je ne sens plus tes bras,
Je n'entends plus ta voix,
S'il te plait ne me retiens pas,
Je tombe,
Plus bas à chaque fois,
Mais je n’atterris pas,
Je t'en prie quitte moi.

(Merci à Déborah Marquis (29) pour cettes paroles)

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