Nekfeu - La Main Sur Le Mic текст песни

" ecrire c'st pff, magique. quand j'ai commencer a écrire, j'ai decouvert que je faisait plus que de raconter une histoire. tu vois écrire c'st une arme. une arme plus puissante que n'importe quel coup de poing".
la main sur le mic la tete ailleurs, comme mon papa surmené, un plat d'pates surgelé, un regard en coin; une patate sur le nez. non
pas d'taff fuir le néant. fat cap sur les néons. la bac passe soulever quand sa s'tape sous le préau.
pas d'bac visé,au dos toujours le meme schéma ternaire. toujours la meme haine dans les veines, les memes débats fermés.
toujours les memes themes les memes scenes que l'etat permet. toujours des tas d'pervers. dans nos verres plus de lait maternel.
et j'en ai marre d'airer loin des tam tam de l'afrique. y'a pas d'drames, ma bite un tas de femmes me l'astiquent.
mais je ne suis pas heureux, comme lefa, j'reste impertinent, j't'emmerde sinan j'suis pas un mec qui prend mais j'ai un pere ti-gen.
et j'suis le vertigent, negligeant mes grosses cerne. et c'st irritant, mec j'me defi sans me prosterner. je reste vivant j'observe et je m'exile dans cet existant, des textes immensement déments, resident dans nos cervelles. co exidant faut s'faire d'belles tass sinon t'assures plus, j'veux pas de surplus. j'invite le président a s'faire mettre.
pour les fous qui sechent les cours et manquent d'espace en class, qui sortent se bourrent et roulent sur un vespa sans casque.
j'suis pas ce gars lisse qui obeit et perd pied, et y'a pas d'raliss au pays des merveilles. j'sacralise l'eternel rap dans les bacs a disques, certaines peines sont courtes mais pour les fatalistes c'st perpet'. c'st perpet epoque de perception, t'as peur t'perd mais n'oublie pas qu'ta mere guette. nekfeu et krimsa, des rimes sale, prodigue sa. aggripe toi c'st ri-pa dans le freestyle.
refrain: main sur le mic la tete ailleurs je prends mon pied. j'ai trop usé mes nike assis en tailleurs dans mon tchek. mon esprtit s'evade dans les vapeurs de la ville polluée; dans la vie faut lutté quand tout se dégrade.

(Merci à Margaux Camilia pour cettes paroles)