Derrière la porte, la ville est morte. Sans le savoir dans les barres des citées les tours d'ivoire. Ce bruit qui court, à rendre sourd, les gorges déployées, dans les poulaillers des basses courts. Tous les non dits, les tragédies, à l'abandon l'interdit ne connait pas le pardon.

Naufragés sans navire, chevaliers sans armures. Oublies ton avenir. La tête contre les murs.


Rien n'est léger, rien n'est facile a digéré, la misère clouée au nombril. Croiser le fer et la poussière, déterminé, emmener le soleil en enfer.
De fascination en répulsion, contaminé, ton cerveau s'est enraillé

Naufragés sans navire, chevaliers sans armures. Oublies ton avenir. La tête contre les murs.

Rêve encore mon frère, l'horizon étranglé dans un trou de serrure.

Rêve encore plus fort mon frère, un rêve à ta mesure, de l'or et de l'air pur.

Naufragés sans navire, chevaliers sans armures. Oublies ton avenir. La tête contre les murs.

Rêve mon frère,
rêve, rêve...

(Merci à asfaloth pour cettes paroles)

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