Tous les chevaux noirs
crevant le ciel
de leur galop

tous les rois barbares
brûlant les dieux
dans leurs châteaux

les amours d'un soir
printemps de feu
qui tombent à l'eau
alléluia, allélu, alléluia (ad lib)

j'ai marché longtemps
comme un païen sans terre promise
j'ai bien cru trouver
les ouragans qui tranquillisent

il m'en restait moins
entre les mains
qu'un peu de brise
alléluia, allélu, alléluia (ad lib)

tous les astres morts
l'oiseau errant
l'enfant qui dort
alléluia, allélu, alléluia (ad lib)

(Merci à Dandan pour cettes paroles)

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