Album: Le Meurtre de Vénus

Architecture sans détour, retour vers le futur
Roule, glisse, vole, trains, avions, bateaux et voiture.
Tout est sombre, mais à mes yeux, tout est clair,

Je ne vois plus mon ombre
A cause des néons brulants qui m'éclairent.

Mes traits, tracés à l'équerre, mais peut être pas perpendiculaire.
Quand soudain, en bas de ce grand arbre,
Je l'ai aperçu, je suis resté de marbre,
Quand soudain, en bas de ce grand arbre,
Je l'ai aperçu, je suis resté de marbre,

J'ai ouvert la fenêtre, pour laisser respirer,
Mon coeur venant de naitre, mais 150 nouvelles idées.
Soleil vert, lune grise, océan rouge, lumière noire.
Le coin serré dans une église,
Il suffit simplement d'y croire.

Mes traits, tracés à l'équerre, peut être pas perpendiculaire.
Quand soudain, en bas de ce grand arbre,
Je l'ai aperçu, je suis resté de marbre,
Quand soudain, en bas de ce grand arbre,
Je l'ai aperçu, je suis resté de marbre,

S'évanouir sous les flots
S'essouffler en pleine course
Se réveiller en sursaut
Essuyer de l'eau de larme
Et partir quand il fera froid
Ne laisser que du marbre

(Merci à HAHA pour cettes paroles)

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