Dès les premières lueurs...
Oh je sombre

Il me parait bien loin l'été,
je ne l'ai pas oublié,
mais j'ai perdu la raison
Et le temps peut bien s'arrêter,
peut bien me confisquer
toute notion des saisons

Dès les premières lueurs d'octobre,
En tout bien tout honneur
Oh je sombre

Je sens comme une odeur de lys, mes muscles se retissent
Et j'attends la floraison.
Mais qu'à t-il put bien arriver entre septembre et mai, j'en ai oublié mon nom

Dès les premières lueurs d'octobre,
En tout bien tout honneur
Oh je sombre

Oh le temps a tourné, je compte les pousses des autres fleurs de saison
Je ne sortirais pas encore de la mousse, pas plus qu'une autre fleur de saison
Pas plus qu'une autre fleur de saison

Il me parait bien loin l'été
Mes feuilles desséchées ne font plus la connexion
Mais qu'à t-il put bien arriver entre septembre et mai, je ne fais plus la distinction

Dès les premières lueurs d'octobre,
En tout bien tout honneur
Oh je sombre

Oh le temps a tourné, je compte les pousses des autres fleurs de saison
Je ne sortirais pas encore de la mousse,
Pas plus qu'une autre fleur de saison
Pas plus qu'une autre fleur de saison

Dès les premières lueurs...
Oh je sombre

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