Album: 1666... Théâtre Bizarre

Apeur' par l'obscurit',
Mes cheveux longs sur ton corps d'nud',
Du bout des doigts, effleure ma phalange o- brille notre alliance
L'ombre du soir caresse tes seins sur l'obscur mur o- ma tete s'ensanglante

Demain, ni meme ailleurs, nous nous s'parerons ce soir
Hier est le pr'sent: jamais la mort nous encourage!

Aujourdihui, aussi bien, ici je te quitte
Embrasse tendrement la tete de mes fils

Par milliers, dans les jardins de ma tendre enfance, les fleurs se fanent!
Romance d'un soir, engrenage du temps, me suis-je 'merveill' en vaine

Le jour je mens, oui j'ai le pouvoir et l'argent; ta pr'sence me d'visage
Moi le cerf bramant la mort
Vie humaine si inutile, remonte lihorloge du temps
Tu m'as cru ardent seigneur, pourtant ne sommes-nous pas que poussiere et n'ante
Au n'ant, je r'ponds pr'sent
Oh n'ant, je t'attends

Demain, ni meme ailleurs, nous nous s'parerons ce soir
Hier est mon pr'sent,:jamais la mort nous encourage!

Par milliers, dans la foret de mon hideuse souffrance, les feuilles se meurent!
Romance d'un soir ou engrenage du temps, me suis-je r'veill': tempse

Le miroir s'est 'teint, vacille ardente braise, enlace une derniere fois mon corps, Belle
Ta beaut' est mon unique puissance Larme tendre, ne garde en toi que la beaut' diune eme

Apeur' par l'obscurit',
Mes cheveux longs sur ton corps d'nud',
Du bout des doigts, effleure ma phalange o- brille notre alliance
L'ombre du soir, caresse tes seins sur l'obscur mur o- ma tete s'ensanglante

Je mi'carte aux assauts d'all'gresse et 'leve le parcours de ma r'clusion, exil au sommet escarp' des monts Mon coeur si'claircit enfin: alors: Dieu je m'en remets fidelement
?h toi le Divin
Aeternitas

Un jour j'ai rev' de vivre

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